
Le journal intime de Mathilde d’Alencourt, l’amie française de Madame Watson, renfermerait-il autant de mystères qu’en contient encore la vieille malle en fer de Sherlock Holmes ? Mathilde y a noté ses secrets.
Elle rencontre le détective lors du mariage de John H. Watson, et l’accompagne ensuite quand il consent à prendre des vacances. Mais avec Holmes, il n’y a jamais de repos. Lors de ses villégiatures en France, en Norvège ou en Belgique, les énigmes se succèdent et les mystères s’éclaircissent, mais de nouvelles interrogations surgissent alors sur la vie privée du détective…
Et quand l’heure de la retraite a sonné, retiré dans sa ferme du Sussex, Sherlock Holmes résout une ultime affaire qui décidera de la fin de son existence.
Les nouvelles Mary, mon amie et Dinard ont été récompensées par le Grand Prix du roman policier aux Journées littéraires de Dinard, en septembre 1997.
Date de parution :
Décembre 2005
Editeur :
Éditions Mycroft’s Brother
Nombre de pages :
144
Vos commentaires
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11 mars 2012
Bon, le prix de départ m’a fait mal, mais je ne regrette aucunement mon achat ! Oh que non. Les cinq enquêtes étaient très divertissantes.
Le livre est agréable et attachant, une bouffée d’air frais de découvrir Holmes qui apprécie grandement Mathilde, au point de ne pas être dérangé par sa présence chez lui, puisque la pauvre ne pouvait plus retourner à l’hôtel suite à la mésaventure qu’elle y avait vécue.
Leurs vacances ensuite à Dinard furent pour moi un autre moment de bonheur, de fou rire (Mathilde et sa poêle en fonte pour assommer un bandit), et la cerise sur le gâteau : Holmes qui l’embrasse, passant même la nuit avec elle ! Bon, j’aurais apprécié que l’auteur développe un peu plus cette fameuse nuit. Pas de détails croustillants, non, juste savoir si… Enfin, vous voyez de quoi je parle ? L’ont-ils fait ou pas ?
Leur périple en Norvège m’a tenu en haleine, leur petit détour par Bruxelles fut trop bref et la dernière aventure m’a fait soupirer parce que je sentais que j’arrivais au mot fatidique de « Fin ».
Je n’ai pas regretté l’achat ni les frais de port exorbitant qui ont enrichi la Poste. Belette 2911

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